Une carte-mère, un écran,
un ampli : trois alimentations.
Pour éviter les multiprises, voici le
cordon 1 fiche-mâle, 3 fiches femelles. Cordon constitué
à partir de 4 cables d'alimentation PC.
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La console, nue et à l'état brut...
Afin d'ètre déplaçable,
elle ne devra pas mesurer plus de 95 cm de largeur (dimension optimale
dans le coffre de la voiture de l'auteur). Les autres dimensions
sont fixées par les dimensions des panneaux tout en
limitant les chutes inutiles.
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La carte-mère, le clavier puis la carte midi.
Le tube servira à fixer les fils allant des touches jusqu'à la carte MIDI.
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A gauche, on voit le cablage d'une bonne partie du clavier.
La cinquième octave sera cablée différemment. >>
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Les douze dernières notes sont partagées en trois groupes.
Un interrupteur-inverseur à quatre voies (récup donc pas le choix!) permet pour chacun de ces groupes de choisir d'utiliser les touches du clavier ou des boutons de registres.
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Le
bandeau pour les poussoirs de registres a été
récupéré sur un vieil orgue électronique.
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<< Pour ne pas
dépareiller un montage fonctionnel en 4x30 watts, le projet
d'origine a été remplacé par un ampli de 60 watts.
Une plaque de plexiglass évite des contacts accidentels avec les lignes d'alimentation de l'ampli.
Les poussoirs sont cablés. >>
Le multimètre à gauche permet de vérifier la
tension d'alimentation de la carte MIDI pendant cette phase de test.
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Face avant de gauche à droite :
voyant 230 V ampli, +12 V PC, +8 V Midi
face arrière, de gauche à droite :
sortie HP, non utilisé , RCA vers ampli extérieur,
alim carte-mère, 230 V ampli, connectique pédalier (en
attente)
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Au sol, la fiche cablée : 13 fils noirs pour le pédalier, 12 fils bleus en attente, 1 fil jaune pour la masse.
La fiche est insérée dans la face arrière,
puis les fils sont soudés directement sur les
contacts du clavier.
Afin de ne pas inverser des fils, un tournevis est inséré
au niveau du contac "pédalier". Lors de la soudure, le fer
à souder et la carte-mère étant à la terre,
le circuit s'établit et la note "sonne".
Le pédalier, récupéré sur une
"antiquité", est prèt à l'emploi : sa
stabilité est assurée par des cornières en
aluminium. Il ne manque qu'un couvercle !
Dans le projet initial, ce pédalier n'était pas
prévu si rapidement, c'est le "hasard de la récup."
Les haut-parleurs sont aussi récupérés sur une "antiquité" avec leur panneau d'origine !
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L'instrument mis en valeur par un grand soleil, puis prèt
à ètre chargé (virtuellement cette fois-ci) dans une voiture.
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L'instrument prèt à l'usage !. Une bande de papier repère les registres.
Au fond à droite,une petite table de mixage et une enceinte
équipée d'un ampli de 60 W. Le synthé Yamaha est
stocké debout, au-dessus du synthé Kawai, le VPO ayant
pris leur place.
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| Au hasard de la récupération de matériel - et grâce aux conseils éclairés de Michel -dont les doigts et les mains sont extrémement précieux ( c'est un virtuose de la scie, du tournevis et de la tronçonneuse), j'ai pu construire un support suffisamment solide et rigide tout en étant en principe, démontable et transportable. Un pupitre repliable a été ajouté. Le pédalier est fini et peut même servir de repose-pieds.
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Modification en mai 2017 :
Les poussoirs sont remplacés par des interrupteurs.
Le but est d'avoir visuellement une information concernant les jeux utilisés sans avoir à utiliser un écran. Je pressens que dans ma paroisse, le grand-orgue sera mis à l'arrêt. Ce petit instrument assurerait alors un interim correct.
contact : lesorguesdedom(arobase)laposte.net
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| En 2016, un pousssoir a été ajouté, sur la gauche du bandeau, pour la mise en route et l'arrèt de l'instrument. Une étiquette rappelle l'OS utilisé (XUbuntu 12.04). L'instrument peut démarrer sans clavier, ni souris.
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